Mauritius – Adventure land

Certainement ma plus belle journée du voyage…

Le reveil sonne à 5h30 du matin, et je l’éteins. Je me reveille en sursaut, 20 minutes plus tard : “Je ne me suis pas réveillée, je vais rater l’excursion pour aller nager avec les dauphins !!”

Je me prépare en 2 minutes chrono et retrouve mon petit groupe pour une aventure extraordinaire…

Il y a 4 ans, le jour de mon anniversaire, Guillaume me réveillait en me tendant un paquet cadeau. A l’intérieur, j’y découvrais une peluche de dauphin, et je comprenais aussitôt sa signification. Nous partions alors quelques jours plus tard en Floride, et j’allais nager pour la première fois de ma vie avec des dauphins dans les Keys, à Islamorada. C’était une expérience exceptionnelle. J’ai littéralement dansé avec ces grands mammifères marins, caressé, nagé avec eux dans un lagon artificiel créé pour sauver les dauphins blessés…

Là, à Maurice, c’était une toute autre aventure qui m’attendait.

Nous avons pris le bateau, direction le grand large.

Après quelques minutes de navigation, on commence à voir des nageoires dorsales sortir de l’eau, puis des dauphins sauter hors de l’eau. Pas deux ou trois, mais par dizaines !!!

On me dit de m’équiper de palmes, masque et tuba, et de sauter à l’eau, là, dans le grand bleu, à des kilomètres de la côte.

J’y vais sans réfléchir, et là j’assiste à un spectacle extraordinaire : plus de trente dauphins, nagent à 3 ou 4 mètres sous moi. Et le son de leur sonar est impressionnant, je n’en reviens pas.

C’était magique. Irréel. Il s’agissait de petits dauphins à long bec, qui se déplacent en banc après avoir chassé pendant la nuit.

Et comme si cette expérience n’avait pas suffit de me faire fondre pour l’île Maurice, nous enchainions l’après-midi avec le parc naturel de loisir Casela.

Amoureux d’animaux, foncez-y !

On peut y approcher des tortues géantes, des lionceaux, nourrir des girafes… Des espèces en voie de disparition y sont recueillies pour leur offrir un meilleur cadre de vie.

On peut aussi dépasser ses limites. Nous avons fait de la tyrolienne, en pleine forêt… une sacrée expérience. Moi qui ai pourtant sauté en parachute pour mes 16 ans et qui n’a à priori peur de rien, je ne faisais pas ma maligne ! Une fois les 5 tyroliennes passées, j’étais surexcitée et fière d’être allée jusqu’au bout.

Maurice, you got me !

Bisous,